LFO : étude culturelle

L’Observatoire des Politiques Culturelles (OPC) vient de sortir une étude comparative pour la direction de l’Évaluation et de la Prospective à l’échelle européenne : » Élargir la participation à la vie culturelle : Expériences françaises et étrangères ». Le rapport réunit de nombreuses monographies dont certaines dans les domaines de la culture et des arts numériques. Zinc et Reso-nance numérique, avec le LFO, figurent parmi les dispositifs actuels d’accès à la culture qui visent à élargir la participation des publics (pages 102; 143) :

 

Au moins trois dispositifs de notre échantillon participent de ce mouvement fondé sur une appropriation des outils, des techniques et des technologies : le Transistor et le Lieu de Fabrication Ouvert (LFO) de Zinc, le lab de Zemos98 ou encore la WebTV CCD Na Tela. Il en découle, d’une part, un modèle particulier de formation : l’apprentissage d’un individu sert de base à l’enseignement des autres. Dans le cas du LFO, le dispositif porte aussi une alternative aux processus fermés de fabrication impliquant de laisser librement sa production à la disposition des autres pour qu’ils l’utilisent, la testent et la développent. Toutes ces initiatives liées au numérique donnent accès à un ensemble de logiciels libres, d’outils informatiques et audiovisuels dédiés au web, au multimédia, à la publication de contenus et à la commande de machines-outils. Ils servent de supports techniques et technologiques à des dispositifs d’acquisition et de partage de connaissances, élaborés dans une perspective démocratique et d’exercice de la citoyenneté.

 


Le rapport de l’étude ici  :