\u00a0Du 10 au 16 septembre- Auckland CBD – Aotearoa Nouvelle-Z\u00e9lande<\/strong><\/p>\n Dans le cadre de la r\u00e9sidence Te Ataata organis\u00e9e par l’Universit\u00e9 AUT \u00e0 Auckland<\/a> et l’Ambassade de France de Nouvelle-Z\u00e9lande.<\/a><\/em><\/strong><\/p>\n En associant l\u2019intelligence artificielle \u00e0 des techniques d\u2019images ayant une histoire plus ancienne \u2013 comme la photographie, les cyanotypes et les projecteurs, Anthony Pillette et Sophie Abraham ont pos\u00e9 un regard critique sur les espoirs envisag\u00e9s par les nouvelles technologies.<\/p>\n L’exposition pr\u00e9sent\u00e9e dans la galerie du centre-ville d’Auckland montre une cinquantaine de travaux r\u00e9alis\u00e9s durant les 2 mois de r\u00e9sidence. Associ\u00e9 \u00e0 des textes g\u00e9n\u00e9r\u00e9s en partie par des \u00a0\u00bb Intelligences artificielles\u00a0\u00bb chaque s\u00e9rie explore un de ces diff\u00e9rents th\u00e8mes.<\/p>\n Une bande son a \u00e9galement \u00e9t\u00e9 produite, entrem\u00ealant des sons enregistr\u00e9s dans la ville et dans la for\u00eat, des oiseaux r\u00e9els ainsi que des sons d’oiseaux synth\u00e9tiques g\u00e9n\u00e9r\u00e9s, illustrant un futur dans lequel la fronti\u00e8re entre r\u00e9el et virtuel s’aminci de jour en jour.<\/p>\n
\nCes \u0153uvres artistiques explorent un monde parall\u00e8le proche du notre, ainsi que ses architectures, r\u00e9v\u00e9lant comment elles affrontent les d\u00e9fis du changement climatique, la rar\u00e9faction des ressources naturelles et la gentrification, ainsi que la dualit\u00e9 entre tradition\/protectionnisme et modernit\u00e9, particuli\u00e8rement au sein des communaut\u00e9s indig\u00e8nes, faisant face au capitalisme.<\/p>\n