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projets:machines:debat:choixdufeu-perspectives

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resonance [Introduction]
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resonance
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 ====== Choix du feu et perspectives ====== ====== Choix du feu et perspectives ======
-Alain Gras est professeur de socio-anthropologie des techniques à l’Université Paris 1, directeur du Centre d’études des techniques des connaissances et des pratiques, fondateur des revues L’Écologiste, La Décroissance et Entropia ; et auteur de livres comme "//Le choix du feu – Aux origines de la crise climatique//" ou encore "//Fragilité de la puissance, se libérer de l’emprise technologique//".+**Alain Gras** est professeur de socio-anthropologie des techniques à l’Université Paris 1, directeur du Centre d’études des techniques des connaissances et des pratiques, fondateur des revues L’Écologiste, La Décroissance et Entropia ; et auteur de livres comme "//Le choix du feu – Aux origines de la crise climatique//" ou encore "//Fragilité de la puissance, se libérer de l’emprise technologique//".
  
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 ===== Introduction ===== ===== Introduction =====
-Pour introduire le débat avec Alain Gras, Jérôme Abel souhait aborder trois notions : l'Anthropocène, l'écosophie et la matière.+Pour introduire le débat avec Alain Gras, Jérôme Abel souhaitait aborder trois notions : l'Anthropocène, l'écosophie et la matière. 
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 +**Résumé** : Les pays industrialisés provoquent des dégâts catastrophiques sur la Terre et sur l'être humain. La domination de la Nature s'accompagne de processus économiques et philosophiques qui nous éloignent de la matière, des choses qui nous entourent. Si nous ne comprenons pas comment fonctionne notre environnement, il est difficile de nous en sentir responsables et d'agir. Il faut donc réévaluer notre rapport à la matière, donc aux métiers manuels et aux techniques simples qui répondent à nos besoins. 
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 +++++ Lire l'intégralité de l'intervention augmentée et réécrite |
  
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-Selon certains scientifiques la Terre est entrée dans une nouvelle époque, l’**Anthropocène**, où l'être humain, plus particulièrement celui habitant dans les pays industrialisés ne l’oublions pas, est devenu une "force géologique" majeure capable de marquer la croûte terrestre (lithosphère). Citons quelques-uns de ces effets : pollutions de l'air, des eaux et de la terre ; extinction des espèces et atteinte à la biodiversité ; augmentation exponentielle de l'extraction des ressources fossiles ou minérales (charbon, pétrole, gaz naturel, uranium, etc.) ; agriculture intensive et surpêche ; déforestation ; marchandisation du vivant ; industries et transports ; évolution de la démographie et de l'urbanisation ; exploitation du nucléaire ; ...  Ce qu’il y a de nouveaux ce n’est pas la nature des dégâts, des scientifiques et artistes nous ont déjà alerté dès les premiers moments de la révolution industrielle des effets négatifs de nos activités sur les sols, les forêts, l’air, les eaux [1]. Ce qui change c’est l’ampleur ou disons-le autrement l’échelle. Avec l’inertie des écosystèmes - et de nos sociétés a-démocratiques [2] - , nous sommes déjà dans un phénomène qui nous dépasse, que certains qualifie de catastrophique. +Selon certains scientifiques la Terre est entrée dans une nouvelle époque, l’**Anthropocène** [0], où l'être humain, plus particulièrement celui habitant dans les pays industrialisés ne l’oublions pas, est devenu une "force géologique" majeure capable de marquer la croûte terrestre (lithosphère). Citons quelques-uns de ces effets : pollutions de l'air, des eaux et de la terre ; extinction des espèces et atteinte à la biodiversité ; augmentation exponentielle de l'extraction des ressources fossiles ou minérales (charbon, pétrole, gaz naturel, uranium, etc.) ; agriculture intensive et surpêche ; déforestation ; marchandisation du vivant ; industries et transports ; évolution de la démographie et de l'urbanisation ; exploitation du nucléaire ; ...  Ce qu’il y a de nouveaux ce n’est pas la nature des dégâts, des scientifiques et artistes nous ont déjà alerté dès les premiers moments de la révolution industrielle des effets négatifs de nos activités sur les sols, les forêts, l’air, les eaux [1]. Ce qui change c’est l’ampleur ou disons-le autrement l’échelle. Avec l’inertie des écosystèmes - et de nos sociétés a-démocratiques [2] - , nous sommes déjà dans un phénomène qui nous dépasse, que certains qualifie de catastrophique. 
  
-Bien qu'en progression, surtout dans les discours, **la prise de conscience écologique ne va pourtant pas de soi**. Il y a encore des batailles d’idées à ce sujet : nos habitudes de production et de consommation le démontre ; la Russie serait, elle, ravie que les voies maritimes du cercle polaire soient dégagées par la chaleur (un peu moins depuis les pollutions à l’anthrax s'échappant du permafrost [3]) ; d'autres souhaitent coloniser Mars pour continuer à dépouiller la Terre. Scientisme, impérialisme, productivisme sont encore bien ancrés ... Les détracteurs tentent de minimiser le constat, de le faire passer pour une fable sectaire millénariste et promettre même un nouveau « fascisme vert » imposant trop de règles à nos petits capitalistes chéris. Pour leur gouverne, les thèses de l'écologie profonde [4] sur la démographie, comme quoi nous serions trop nombreux, font froid dans le dos.+Bien qu'en progression, surtout dans les discours, **la prise de conscience écologique ne va pourtant pas de soi**. Il y a encore des batailles d’idées à ce sujet : nos habitudes de production et de consommation le démontre ; la Russie serait, elle, ravie que les voies maritimes du cercle polaire soient dégagées par la chaleur (un peu moins depuis les pollutions à l’anthrax s'échappant du permafrost [3]) ; d'autres souhaitent coloniser Mars pour continuer à dépouiller la Terre. Scientisme, impérialisme, productivisme sont encore bien ancrés ... Les détracteurs tentent de minimiser le constat, de le faire passer pour une fable sectaire millénariste et promettre même un nouveau « fascisme vert » imposant trop de règles à nos petits capitalistes chéris. Pour leur gouverne, les thèses de l'écologie profonde [4] sur la démographie, comme quoi nous serions trop nombreux, font froid dans le dos.
  
-Pour désamorcer cela il faut peut-être assumer une position qui paraît contradictoire, celle de **catastrophistes joyeux** [5], c’est-à-dire qu’il faut bien vivre avec cette situation, ... pénible, mais que c’est aussi un moment pour explorer les capacités de nos humanités à créer des systèmes résilients [6]. Prenons donc simplement l’écologie comme un outil qui nous aide à comprendre et agir sur le monde. Comme la sociologie qui nous aide à décrypter des rapports de domination, l’écologie permet de tisser des liens entre les êtres et les choses, mais aussi des liens de causalités, de coopérations, de domination. L’**écosophie** [7] propose d’ailleurs une écologie globale : environnementale, c'est la vision communément admise, mais aussi sociale et mentale. Selon Félix Guattari en effet, « tout se tient : on ne peut espérer remédier aux atteintes à l’environnement sans modifier l’économie, les structures sociales, l’espace urbain, les habitudes de consommation, les mentalités [...]. C’est ce qui me conduit à parler d’une écosophie qui aurait pour perspective de ne jamais tenir séparées les dimensions matérielles et axiologiques des problèmes considérés. » [8]+Pour désamorcer cela il faut peut-être assumer une position qui paraît contradictoire, celle de **catastrophistes joyeux** [5], c’est-à-dire qu’il faut bien vivre avec cette situation, ... pénible, mais que c’est aussi un moment pour explorer les capacités de nos humanités à créer des systèmes résilients [6]. Prenons donc simplement l’écologie comme un outil qui nous aide à comprendre et agir sur le monde. Comme la sociologie qui nous aide à décrypter des rapports de domination, l’écologie permet de tisser des liens entre les êtres et les choses, mais aussi des liens de causalités, de coopérations, de domination. L’**écosophie** [7] propose d’ailleurs une écologie globale : environnementale, c'est la vision communément admise, mais aussi sociale et mentale. Selon Félix Guattari en effet, « tout se tient : on ne peut espérer remédier aux atteintes à l’environnement sans modifier l’économie, les structures sociales, l’espace urbain, les habitudes de consommation, les mentalités [...]. C’est ce qui me conduit à parler d’une écosophie qui aurait pour perspective de ne jamais tenir séparées les dimensions matérielles et axiologiques des problèmes considérés. » [8]
  
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-Un préalable à toute sensibilisation sur l’environnement serait à mon sens de **reconsidérer notre rapport à la nature, à notre corps, à la matière** [9]. Pour paraphraser Matthew B. Crawford : pour nous sentir responsables de notre monde il faut le rendre intelligible [10]. C’est triviale de le dire mais nos actes multipliés par notre nombre ne s’arrêtent pas devant notre porte : nous respirons les gaz que nous émettons, nous buvons l'eau que nous souillons, nous mangeons les produits chimiques que nous épandons, etc [11]. Dans certaines situations, la nature n'est pas clémente, on peut comprendre qu'il faille dans certains cas la dominer pour survivre : qui ne le lutterait pas par exemple contre les oiseaux ou les sauterelles qui détruisent les champs de culture ? Mais depuis les révolutions industrielles, et surtout depuis l’accélération du milieu du XXème siècle, on observe dans les pays occidentaux des processus économique et symbolique qui accompagnent la destruction de l’environnement en nous éloignant explicitement de la matière : +Un préalable à toute sensibilisation sur l’environnement serait à mon sens de **reconsidérer notre rapport à la nature, à notre corps, à la matière** [9]. Pour paraphraser Matthew B. Crawford : pour nous sentir responsables de notre monde il faut le rendre intelligible [10]. C’est triviale de le dire mais nos actes multipliés par notre nombre ne s’arrêtent pas devant notre porte : nous respirons les gaz que nous émettons, nous buvons l'eau que nous souillons, nous mangeons les produits chimiques que nous épandons, etc [11]. Dans certaines situations, la nature n'est pas clémente, on peut comprendre qu'il faille dans certains cas la dominer pour survivre : qui ne le lutterait pas par exemple contre les oiseaux ou les sauterelles qui détruisent les champs de culture ? Mais depuis les révolutions industrielles, et surtout depuis l’accélération du milieu du XXème siècle, on observe dans les pays occidentaux des processus économique et symbolique qui accompagnent la destruction de l’environnement en nous éloignant explicitement de la matière : 
-  * la division du travail dépossède le travailleur de ses moyens de production et doit être comprise aussi comme dépossession de lui-même, de ses capacités pratiques et innovatrices, de sa valeur [12] ; +  * la division du travail dépossède le travailleur de ses moyens de production et doit être comprise aussi comme dépossession de lui-même, de ses capacités pratiques et innovatrices, de sa valeur [12] ; 
-  * le mythe de l'individu comme sujet externe et autonome [13] ;+  * le mythe de l'individu comme sujet externe et autonome [13] ;
   * l'urbanisation qui ne favorise pas le contact avec la nature ;   * l'urbanisation qui ne favorise pas le contact avec la nature ;
   * le déplacement des moyens de productions (extraction et transformation des matières) vers les pays autoritaires afin d'éviter nos normes sociales, sanitaires et environnementales [14];   * le déplacement des moyens de productions (extraction et transformation des matières) vers les pays autoritaires afin d'éviter nos normes sociales, sanitaires et environnementales [14];
-  * la dévalorisation des collectifs ouvriers, des savoirs manuels, des filières techniques au profit des métiers "intellectuels"+  * la dévalorisation des collectifs ouvriers, des savoirs manuels, des filières techniques au profit des métiers "intellectuels" ;
   * les lobbies et le marketing numérique du virtuel et de l'"immatériel" en "cloud" et des "apps", qui préparent une jeunesse consumériste, déconnectée plutôt que connectée [15]   * les lobbies et le marketing numérique du virtuel et de l'"immatériel" en "cloud" et des "apps", qui préparent une jeunesse consumériste, déconnectée plutôt que connectée [15]
-  * les transhumanistes eux continuent leur course vers l'immatériel considérant que l'esprit de l'Homme peut être détachée de tout support biologique, considérant le corps comme imparfait [15]+  * les transhumanistes eux continuent leur course vers l'immatériel considérant que l'esprit de l'Homme peut être détachée de tout support biologique, considérant le corps comme imparfait
  
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 +[0] Livre "L'événement Anthropocène" de Christophe Bonneuil et Jean-Baptiste Fressoz
  
 [1] En 1864, le livre fondateur de George Perkins Marsh, Man and Nature, est la première étude détaillée et scientifique des dégradations humaines sur les écosystèmes forestiers et côtiers. On est au milieu du XIXe siècle, et Marsh s’interroge déjà sur la possibilité d’une incompatibilité entre la société industrielle naissante et la Nature. ([[http://www.liberation.fr/debats/2015/10/15/l-ecologie-prise-au-mot_1404740|L'écologie prise au mot]]). [1] En 1864, le livre fondateur de George Perkins Marsh, Man and Nature, est la première étude détaillée et scientifique des dégradations humaines sur les écosystèmes forestiers et côtiers. On est au milieu du XIXe siècle, et Marsh s’interroge déjà sur la possibilité d’une incompatibilité entre la société industrielle naissante et la Nature. ([[http://www.liberation.fr/debats/2015/10/15/l-ecologie-prise-au-mot_1404740|L'écologie prise au mot]]).
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 ===== Perspectives : Sociétés des Ateliers ===== ===== Perspectives : Sociétés des Ateliers =====
-Dans "Question de taille", Olivier Rey remarque que "le plus haut degré de civilisation s’accommode de tailles modestes". Les projets de transformations/transitions/résiliences partent souvent du principe d'agir sur le local, de cohabiter avec la situation, en partant de l'existant, d'où on habite, à petite échelle : une maison, un quartier, un arrondissement, une ville, une région, un village, ...  
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-La question qui reste la plus compliquée et celle de trouver l'équilibre entre nos besoins en structures complexes et centralisées (hôpitaux, routes, industries lourdes, réseaux, ...) et ceux qui pourraient être résolus par des structures simplifiées et décentralisées, proches des habitats. Par exemple : est-ce qu'une grande quantité d'artisans produisant un objet est plus efficace écologiquement et plus harmonieuse humainement qu'une grosse usine centralisée à l'extérieur de la ville ? 
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-Hallenbauten 
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-Des initiatives aujourd'hui existent qui portent en elle des idées  
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-DIY Manifesto, open Source ecology, transformaking.org, low tech lab, poc21.cc, cultures libres, Critical Making,  (Fab city), villes radicantes, Peer to peer production, Réseau d'énergie 
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-Polyactivités 
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-Des lieux  
-- disséminés en p2p dans les quartiers, de façon complémentaires et diversifiés, en circuits courts 
-- pour échanger : monnaies complémentaires /  Coopératives Intégrales 
-- pour apprendre, partager, documenter : communautés de savoirs 
-- pour récupérer, recycler, valoriser, réparer 
-- pour prêter des outils 
-- pour créér, concevoir, fabriquer en ecoconception : séparer les éléments (car difficile de reycler) (cradle to cradle): hackerspaces, fablabs, ateliers participatifs, 
-- pour construire, se vêtir, produire de l'énergie 
-- pour se nourrir et végétaliser : notion de villes radicantes, partir de l'existant, avec les habitants et les matières présents, pour transformer la ville, végétalisation des villes, producteurs locaux, permaculture (diversité, complémentarité, long terme, ...) 
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-    Problème n°1 : avoir du temps pour récupérer/réparer/échanger > pouvoir ne pas payer le loyer ! 
-    Problème n°2 : souvent toute transformation de matière génère des impacts sur la santé et l'environnement. pourquoi 
-    Problème : société de producteurs, car tout le monde a une richesse à partager, un savoir faire, mais comment intégrer le notion d'autres personnes qui ne peuvent pas contribuer dans ce cadre (autiste, vieux, ...) 
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-Nous ne partons pas de rien, citons quelques exemples :  
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-  * [[http://www.bastamag.net/Low-tech-comment-vivre-sans-polluer-Entrons-dans-l-ere-des-low-tech-ou-les|L'âge des Low Tech]] de Philippe Bihouix 
-  * [[http://www.franceculture.fr/emissions/les-nouvelles-vagues/l-artisanat-35-artisanat-20-et-philosophie-du-diy|Émission de radio sur l'artisanat et le DIY]] 
-  * [[culture:societe-libre:accueil|Société libre]] 
-  * [[http://jeromeabel.net/files/ressources/democratie-industrielle/democratie-industrielle.html|Démocratie industrielle]] 
-  * [[ http://www.makertour.fr|Maker Tour]] 
-  * [[http://guide.libreassociation.info/|Guide Libre Associations]], des logiciels pour libérer votre projet associatif 
-  * [[https://www.villa-arson.org/2015/12/1er-rendez-vous-des-bricologues/|Le 1er rendez-vous des bricologues]] 
-  * [[http://www.poc21.cc/12-projects/|12 projets "POC 21"]] 
-  * [[http://www.terraeco.net/-Detroit-DIY,2140-.html|DIY Manifesto]]  
-  * [[https://fr.wikipedia.org/wiki/Open_Source_Ecology|Open Source Ecology]] 
-  * [[http://transformaking.org|Festival Transformaking]] 
-  * Associations qui animent des ateliers : [[http://www.asso-entropie.fr|Entropie]], [[http://www.latelierpaysan.org|L'atelier paysan]], [[http://atelierdusoleiletduvent.org|L'atelier du soleil et du vent]] 
-  * Un [[http://www.apedec.org/wp-content/uploads/2015/09/PANNEAUX-EXPOS-CGT-5-light.pdf|document]] présentant le concept de Fab City 
-  * Meubles Open Source : [[http://flatshape.org/|flatshape]], [[https://www.opendesk.cc/|opendesk]], ... 
-  * [[http://m-v-t.info/index.php?file=Sections&op=article&artid=90|Coopérative intégrale à Marseille]] 
-  * [[http://www.makery.info/2016/01/11/la-rentree-des-fabacademiciens/|FabAckademy]] 
-  * [[http://www.lesnouveauxriches.org/|Les nouveaux riches]] : site ressources sur les monnaies complémentaires. 
-  * [[https://www.youtube.com/watch?v=ON65sWtNeh4|Vidéo Arte]] sur le fablab EcoDesign à Montreuil et l'imprimante 3D recyclée faite par un Fablab au Togo. 
-  * Les [[http://www.lesusinesnouvelles.com/|usines nouvelles]] à Poitiers 
-  * Groupes de réflexions : [[http://www.institutmomentum.org|institutmomentum]], [[http://p2pfoundation.net/|p2pfoundation]], [[http://arsindustrialis.org/|arsindustrialis]] 
-  * Sites de ressources :  [[http://www.instructables.com/|instructables]], [[https://akvopedia.org/wiki|akvopedia]], [[http://www.appropedia.org|appropedia]], [[http://lowtechlab.org/|lowtechlab]], [[http://www.flossmanualsfr.net/|flossmanualsfr]], [[http://ouiaremakers.com/|ouiaremakers]], [[http://www.lafabriquediy.com/|lafabriquediy]], [[http://movilab.org/|movilab]] 
-  * L'ubérisation des artisans ? : [[https://zelip.co/|zelip.co]] 
  
-https://www.demain-lefilm.com/apres-demain+Voir nos propositions autour d'une [[:culture:sociétésdesateliers:|Société des Ateliers]].
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